HISTOIRES DE CUEILLEURS
Les médias évoquent volontiers la connaissance des plantes sauvages qu’ont les peuples autochtones à l’autre bout de la planète (avec une approche souvent mâtinée d’anthropologie et de folklore). Mais dans notre société moderne occidentale cette connaissance s’est évaporée. Savoir identifier des espèces qui poussent dans notre environnement quotidien, connaître leur écologie et leurs propriétés, tout cela nous est devenu étranger, car beaucoup d’entre nous passent leur vie loin de la nature. Cette connaissance ancestrale a pourtant accompagné l’homme sur des millénaires et des millénaires, et semble être inscrite au plus profond de chacun.
Néanmoins ce savoir perdure dans nos territoires bien qu’il soit devenu aussi rare que ceux qui le possèdent encore. Rare au point que celles et ceux qui l’ont acquis au prix de longues années d’apprentissage et de travail, voire d’une vie, peuvent être perçus comme ayant presque des pouvoirs chamaniques. Que ce soit pour un usage personnel ou bien à des fins de partage, des femmes et des hommes, parfois tout près de nous, perpétuent, chacun à leur manière, ce savoir des plantes. Portraits de cueilleurs de fleurs sauvages en Auvergne, dans le Puy-de-Dôme.
Les médias évoquent volontiers la connaissance des plantes sauvages qu’ont les peuples autochtones à l’autre bout de la planète (avec une approche souvent mâtinée d’anthropologie et de folklore). Mais dans notre société moderne occidentale cette connaissance s’est évaporée. Savoir identifier des espèces qui poussent dans notre environnement quotidien, connaître leur écologie et leurs propriétés, tout cela nous est devenu étranger, car beaucoup d’entre nous passent leur vie loin de la nature. Cette connaissance ancestrale a pourtant accompagné l’homme sur des millénaires et des millénaires, et semble être inscrite au plus profond de chacun.
Néanmoins ce savoir perdure dans nos territoires bien qu’il soit devenu aussi rare que ceux qui le possèdent encore. Rare au point que celles et ceux qui l’ont acquis au prix de longues années d’apprentissage et de travail, voire d’une vie, peuvent être perçus comme ayant presque des pouvoirs chamaniques. Que ce soit pour un usage personnel ou bien à des fins de partage, des femmes et des hommes, parfois tout près de nous, perpétuent, chacun à leur manière, ce savoir des plantes. Portraits de cueilleurs de fleurs sauvages en Auvergne, dans le Puy-de-Dôme.