NOTHING OUT THE ORDINARY
RIEN D’EXTRAORDINAIRE
Cette série d’images est envisagée comme une chronique intemporelle du quotidien, à proximité de mon domicile. Le domicile et ses alentours proches sont un lieu de vie qu’on n’a pas forcément choisi, mais dans lequel on passe pourtant beaucoup de temps. L’habitude estompe peu à peu les contours et les caractéristiques propres de cet espace que l’on peut qualifier d’intime, au fil du temps, et il est difficile de lui apporter une attention continue et intéressée. Le quotidien banalise.
Les confinements successifs liés à la pandémie de Covid-19 ont augmenté de manière très sensible le temps passé à domicile et dans les alentours proches. C’est un curieux paradoxe de constater qu’une crise à l’échelle de la planète entière a recentré le domaine du possible des individus à un espace aussi restreint que celui de leur lieu de vie. Dès lors, j’ai entrepris de faire des images de mon environnement quotidien, ça et là, au gré des mois, sans objectif ni but, avec juste la volonté de photographier cet ordinaire, mon ordinaire, et peut-être au fond d’apprendre à le regarder ?
RIEN D’EXTRAORDINAIRE
Cette série d’images est envisagée comme une chronique intemporelle du quotidien, à proximité de mon domicile. Le domicile et ses alentours proches sont un lieu de vie qu’on n’a pas forcément choisi, mais dans lequel on passe pourtant beaucoup de temps. L’habitude estompe peu à peu les contours et les caractéristiques propres de cet espace que l’on peut qualifier d’intime, au fil du temps, et il est difficile de lui apporter une attention continue et intéressée. Le quotidien banalise.
Les confinements successifs liés à la pandémie de Covid-19 ont augmenté de manière très sensible le temps passé à domicile et dans les alentours proches. C’est un curieux paradoxe de constater qu’une crise à l’échelle de la planète entière a recentré le domaine du possible des individus à un espace aussi restreint que celui de leur lieu de vie. Dès lors, j’ai entrepris de faire des images de mon environnement quotidien, ça et là, au gré des mois, sans objectif ni but, avec juste la volonté de photographier cet ordinaire, mon ordinaire, et peut-être au fond d’apprendre à le regarder ?